"Wed 21"
cd
2. Wed 21
3. Ferocímo
4. Lo Decidí Yo
6. Ay, No Se Ofendan
7. Bicho Auto
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L'ensorcelante Juana Molina revient avec un album somptueux, dans lequel elle tresse magistralement tous les fils qu'elle avait précédemment déployés, afin de créer une série de chansons malicieuses, inventives et joyeuses qui regorgent de surprises.
Juana est considérée comme une artiste profondément originale et visionnaire qui, à l'instar de Brian Wilson ou Kevin Shields, parvient à marier les éléments les plus excentriques avec des mélodies presque aussi accessibles que de la pop conventionnelle (Rolling Stone US). Elle a été qualifiée de génie pur, ayant accédé à une dimension rarement fréquentée par le commun des mortels : celle de la pure musique (Les Inrockuptibles), et il paraîtrait qu'elle est l'une des chanteuses les plus extraordinaires qui soient (Sunday Times, UK), qui crée une bande-son pour l'inconscient (Spin, US) et de la magie sonore subtile et inclassable (Uncut, UK).
Pour ses albums précédents, Juana Molina s'était délibérément limitée à un assortiment d'éléments définis (guitare, voix superposées, un peu de synthés et de percussions) pour composer des pièces qui sont graduellement passées d'une tonalité folk et acoustique à des pièces plus hypnotiques et abstraites.
Cette fois, elle a significativement élargi sa palette instrumentale en y incluant guitares électriques, basse, batterie et sons électroniques bien personnels, ce qui confère à Wed 21 un spectre sonore plus large et plus riche. Dans certains titres, elle s'approche plus que jamais de structures pop et d'un véritable son de groupe… tandis que d'autres pièces nous emmènent dans de sinueuses excursions au travers de gammes d'émotions et de textures. Guidée par ses muses habituelles et complémentaires (esprit d'expérimentation + profond sens mélodique, approche conceptuelle + intuition), Juana Molina nous livre un véritable bijou. Au fil de l'album, chacune des onze chansons révèle de nouvelles idées savoureuses, des virages inattendus, des atmosphères inspirées. En un mot comme en cent: Wed 21 est un album superbe, un voyage délicieux, de la première à la dernière minute.
Quant aux textes, charmants et souvent énigmatiques: on y remarquera la présence intriguante de plusieurs curieux spécimens de faune, dont un ours (et non pas un ange) gardien, un insecte muni d'organes qui, tels des phares d'automobile, éclairent son parcours, et un rat affecté de syllogomanie. Soulignons également le rêve étrange de Final Feliz, et les déboires hilarants d'un narrateur hyperacousique dans Ferocísimo.
Wed 21 a été entièrement composé, interprété, enregistré et réalisé par Juana Molina dans son studio, situé dans la banlieue de Buenos Aires.
Juana adore travailler seule, c'est ce qui lui permet de créer son univers, pareill à nul autre. Mais elle aime également se confronter à d'autres artistes: elle a travaillé avec Vetiver et Vashti Bunyan, a tourné avec David Byrne et Feist, et s'est lancée en 2011 dans l'aventure Congotronics vs Rockers, l'ambitieux projet collectif au sein duquel elle a collaboré avec Konono N°1, Kasai Allstars, Deerhoof, Wildbirds & Peacedrums et Matt Mehlan (Skeletons).
Wed 21 dans la presse:
Juana est considérée comme une artiste profondément originale et visionnaire qui, à l'instar de Brian Wilson ou Kevin Shields, parvient à marier les éléments les plus excentriques avec des mélodies presque aussi accessibles que de la pop conventionnelle (Rolling Stone US). Elle a été qualifiée de génie pur, ayant accédé à une dimension rarement fréquentée par le commun des mortels : celle de la pure musique (Les Inrockuptibles), et il paraîtrait qu'elle est l'une des chanteuses les plus extraordinaires qui soient (Sunday Times, UK), qui crée une bande-son pour l'inconscient (Spin, US) et de la magie sonore subtile et inclassable (Uncut, UK).
Pour ses albums précédents, Juana Molina s'était délibérément limitée à un assortiment d'éléments définis (guitare, voix superposées, un peu de synthés et de percussions) pour composer des pièces qui sont graduellement passées d'une tonalité folk et acoustique à des pièces plus hypnotiques et abstraites.
Cette fois, elle a significativement élargi sa palette instrumentale en y incluant guitares électriques, basse, batterie et sons électroniques bien personnels, ce qui confère à Wed 21 un spectre sonore plus large et plus riche. Dans certains titres, elle s'approche plus que jamais de structures pop et d'un véritable son de groupe… tandis que d'autres pièces nous emmènent dans de sinueuses excursions au travers de gammes d'émotions et de textures. Guidée par ses muses habituelles et complémentaires (esprit d'expérimentation + profond sens mélodique, approche conceptuelle + intuition), Juana Molina nous livre un véritable bijou. Au fil de l'album, chacune des onze chansons révèle de nouvelles idées savoureuses, des virages inattendus, des atmosphères inspirées. En un mot comme en cent: Wed 21 est un album superbe, un voyage délicieux, de la première à la dernière minute.
Quant aux textes, charmants et souvent énigmatiques: on y remarquera la présence intriguante de plusieurs curieux spécimens de faune, dont un ours (et non pas un ange) gardien, un insecte muni d'organes qui, tels des phares d'automobile, éclairent son parcours, et un rat affecté de syllogomanie. Soulignons également le rêve étrange de Final Feliz, et les déboires hilarants d'un narrateur hyperacousique dans Ferocísimo.
Wed 21 a été entièrement composé, interprété, enregistré et réalisé par Juana Molina dans son studio, situé dans la banlieue de Buenos Aires.
Juana adore travailler seule, c'est ce qui lui permet de créer son univers, pareill à nul autre. Mais elle aime également se confronter à d'autres artistes: elle a travaillé avec Vetiver et Vashti Bunyan, a tourné avec David Byrne et Feist, et s'est lancée en 2011 dans l'aventure Congotronics vs Rockers, l'ambitieux projet collectif au sein duquel elle a collaboré avec Konono N°1, Kasai Allstars, Deerhoof, Wildbirds & Peacedrums et Matt Mehlan (Skeletons).
Wed 21 dans la presse:
Etrange, hypnotique et obsédant (Spin, US)
Comme une fable fantastique… qui prend l'auditeur en otage (Pitchfork, US)
Son meilleur album à ce jour, nous sommes ravis de son retour (Mixmag, UK)
Comme si des extra-terrestres s'essayaient à faire de la pop terrienne (The Independent, UK)
(Elle) semble avoir décuplé ses pouvoirs de sorcières electro-folk (Les Inrockuptibles)
Des comptines pop faussement naïves, peuplées de rêves et d'animaux, pleines de force et de mystère (Libération)
Elle s'approche du math-rock… mais sa musique est toujours perchée au bord du délire (New York Times, US)
Toujours en mouvement, cette fusion élégante de mélodies aériennes et d'excentricité ludique suit un cours perpétuellement fluide (Mojo, UK)