"Al Jamilat"
CD/LP
1. Douss
3. Assi
4. Choubi
5. Iza
6. Cafe
7. K2
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Al Jamilat (‘The Beautiful Ones’)
Avec son premier album solo Ya Nass (2013), Yasmine Hamdan exposait sa vision personnelle et moderne de la pop en langue arabe.
Dans Al Jamilat (“les magnifiques”, au féminin), Yasmine poursuit son exploration musicale, et interroge au passage le monde arabe et les mutations qui y sont à l’oeuvre.
Si le style vocal de Yasmine est clairement lié aux traditions de la musique arabe (qu’elle approche de façon intuitive et peu conventionnelle), les structures et les arrangements des chansons sont néanmoins très éloignés de ses codes, et incorporent des éléments provenant de la musique électronique, du folk et de la pop les plus actuels.
Les potentialités de cette démarche unique sont magnifiquement réalisées dans son nouvel album, intitulé Al Jamilat (“Les magnifiques”, au féminin), qui paraît au printemps 2017.
Yasmine Hamdan en a assuré la réalisation, en association avec les producteurs britanniques Luke Smith (Foals, Depeche Mode, Lily Allen) et Leo Abrahams (Brian Eno, Carl Barât, Regina Spektor), et en compagnie de musiciens new-yorkais tels que Shahzad Ismaily (Laurie Anderson, Lou Reed, John Zorn, Marc Ribot) et Steve Shelley (Sonic Youth).
Yasmine est une nomade, elle a vécu dans une demi-douzaine de pays, en immersion dans des cultures diverses. Il n’est donc pas surprenant que la création de cet album ait pris la forme d’un voyage, durant lequel elle a collecté et brassé des sons et des idées, interagi avec les nombreuses personnes qu’elle a rencontrées sur sa route (musiciens ou pas), ce qui n’a pas manqué de nourrir sa réflexion et d’enrichir la dimension sociopolitique qui figure toujours en filigrane dans les textes de ses chansons.
La parution de l’album Ya Nass a suscité beaucoup d’enthousiasme à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, ainsi qu’au Maghreb et au Moyen-Orient (où Yasmine Hamdan jouit d’un statut quasi-iconique depuis ses premiers pas avec Soapkills, le duo qu’elle avait fondé dans sa ville natale de Beyrouth, l’un des premiers groupes indie/électroniques à avoir vu le jour dans la région). Elle s’est produite dans des lieux prestigieux sur quatre continents, y compris dans le cadre de concerts liés à la parution du film de Jim Jarmusch Only Lovers Left Alive (dans lequel elle chante, à l’écran, dans l’une des scènes les plus marquantes du film).
Avec son premier album solo Ya Nass (2013), Yasmine Hamdan exposait sa vision personnelle et moderne de la pop en langue arabe.
Dans Al Jamilat (“les magnifiques”, au féminin), Yasmine poursuit son exploration musicale, et interroge au passage le monde arabe et les mutations qui y sont à l’oeuvre.
Si le style vocal de Yasmine est clairement lié aux traditions de la musique arabe (qu’elle approche de façon intuitive et peu conventionnelle), les structures et les arrangements des chansons sont néanmoins très éloignés de ses codes, et incorporent des éléments provenant de la musique électronique, du folk et de la pop les plus actuels.
Les potentialités de cette démarche unique sont magnifiquement réalisées dans son nouvel album, intitulé Al Jamilat (“Les magnifiques”, au féminin), qui paraît au printemps 2017.
Yasmine Hamdan en a assuré la réalisation, en association avec les producteurs britanniques Luke Smith (Foals, Depeche Mode, Lily Allen) et Leo Abrahams (Brian Eno, Carl Barât, Regina Spektor), et en compagnie de musiciens new-yorkais tels que Shahzad Ismaily (Laurie Anderson, Lou Reed, John Zorn, Marc Ribot) et Steve Shelley (Sonic Youth).
Yasmine est une nomade, elle a vécu dans une demi-douzaine de pays, en immersion dans des cultures diverses. Il n’est donc pas surprenant que la création de cet album ait pris la forme d’un voyage, durant lequel elle a collecté et brassé des sons et des idées, interagi avec les nombreuses personnes qu’elle a rencontrées sur sa route (musiciens ou pas), ce qui n’a pas manqué de nourrir sa réflexion et d’enrichir la dimension sociopolitique qui figure toujours en filigrane dans les textes de ses chansons.
La parution de l’album Ya Nass a suscité beaucoup d’enthousiasme à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, ainsi qu’au Maghreb et au Moyen-Orient (où Yasmine Hamdan jouit d’un statut quasi-iconique depuis ses premiers pas avec Soapkills, le duo qu’elle avait fondé dans sa ville natale de Beyrouth, l’un des premiers groupes indie/électroniques à avoir vu le jour dans la région). Elle s’est produite dans des lieux prestigieux sur quatre continents, y compris dans le cadre de concerts liés à la parution du film de Jim Jarmusch Only Lovers Left Alive (dans lequel elle chante, à l’écran, dans l’une des scènes les plus marquantes du film).