Un disque merveilleusement arrangé, une fantasia instrumentale regardée à travers le trou de la serrure… Tanja et ses musiciens font valser le tango et la pop dans des habits haute couture, en quête de formes originales. Un doux vertige de manège de fête foraine, tout en formers fluides et baroques… Tanja Frinta pourrait être la fille cachée de Tom Waits, celle qu'il a eue lors de ses pérégrinations imaginaires dans la vieille Europe
Les Inrockuptibles

L'herbe chante, le premier album de Tanja Frinta et ses boys méditerranéens (l'Italien Giorgio Menossi, le Majorquin Marc Meliá Sobrevias) fait figure de carrousel enchanté. Entre opéra de qut'sous, folk jazzy, cabaret allemand, le trio est l'attraction du moment
Vibrations

Ils imaginent un univers agréablement baroque et échevelé (This World Is Crazy, titre d'ouverture, donne bien le ton) qui sait, à l'occasion, se regarder non moins élégamment le nombril
Libération

Ce disque regorge de ritournelles lestes et délicieusement désuètes dont l'insouciance évoque pêle-mêle la chanson d'avant-guerre… ou encore le charme pastoral de l'inaltérable Mélodie du Bonheur de Rodgers et Hammerstein. La vois mutine et la six-cordes délicate de la Viennoise Tanja Frinta, le piano badin mais suggestif de son comparse catalan, le swing discret du batteur transalpin, tout ici  n'est que douceur et sobriété… ce premier album risque fort, malgré ses faux-airs d'enfant sage,  de faire chavirer les cœurs
Magic

Et l'herbe nu-folk de pousser sur de nouvelles contrées hallucinantes avec ce premier album. Ballade tyrolienne sous perfusion cabaret berlinois, ritournelles swing allumées aux comédies musicales de Broadway, complainte hawaïenne coupée au cirque Gruss…Ici, l'herbe est chantante et radieuse.
Vogue

Comme la Canadienne Feist, l'Autrichienne Tanja Frinta est passée par le punk avant de s'épanouir dans des ambiances d'avant le rock… Un trio vagabondant avec grâce du cabaret expressionniste au folk jazzy, des scènes de Brioadway aux fantaisies latines. Leur premier album s'impose comme une féérie pop illuminée par la joyeuse mélancolie de la Viennoise et l'originalité des arrangements, parfois proches de Yann Tiersen
Le Monde

La folk a trouvé sa fée clochette ! Lonely Drifter Karen, le groupe de la viennoise Tanja Frinta nous transporte le temps d'un album "Grass is Singing" dans un monde merveilleux, une fête foraine où l'herbe fredonne et les filles se transforment en éléphants. Une folk féerique servie par le pianiste catalan Marc Mélia Sobrevias et le batteur italien Giorgio Menossi. Elle a fait sensation le mois dernier au Festival "Les femmes s'en mêlent"
Nova

La bande-son idéale du film que vous voudrez irrésistiblement vous faire à son écoute.Chaque recoin regorge de curiosités et d'atmosphères plaisantes. D'abord, on pense à la talentueuse Hanne Hukkelberg pour la dulce locura avec laquelle Tanja aborde les thèmes - un peu pour la voix aussi - et puis, on ne pense plus, on se contente de se laisser transporter tout sourire dans ce petit monde féerique, les pavillons grand ouverts. Amateurs de folie douce, de magie et de confluence pluriculturelle, il ne tient plus qu'à vous de vous lancer dans cette odyssée qui trouvera, j'en suis sûr, une place de choix sur l'échiquier de votre imaginaire.
Pop News